2011 n’est pas encore achevé que 2012 point déjà le bout de son nez. Pour une reprise tout en douceur, les meilleurs mondiaux ont rendez-vous à Abu Dhabi en cette fin décembre pour réviser leurs gammes en vus des prochains tournois, qui débutent dès la semaine prochaine. Monfils, Tsonga, Djokovic, Nadal, Ferrer et Federer sont ainsi de la partie pour ce tournoi d’exhibition de haut standing.
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Une page se tourne. 2011 prend fin tandis que 2012 prend son envol. De l’Australie au Canada, Europe, Asie, Afrique et Amérique visités, la saison tennistique fut haute en couleurs et riche en rebondissements. L’heure des bilans arrive ainsi, une rétro parfaite pour revivre des moments magiques. Neuvième épisode avec le mois de septembre, qui accentuera encore plus l’ultra-domination de Djokovic cette année.
Une page se tourne. 2011 prend fin tandis que 2012 prend son envol. De l’Australie au Canada, Europe, Asie, Afrique et Amérique visités, la saison tennistique fut haute en couleurs et riche en rebondissements. L’heure des bilans arrive ainsi, une rétro parfaite pour revivre des moments magiques. Huitième épisode avec le mois d’août, qui voit se conjuguer domination des cadors et réveils tardifs.
Un Américain peut en cacher un autre. Mardy Fish en est la preuve vivante. Emergeant (enfin) la trentaine arrivant, Fish est dans la forme de sa vie en cette année 2011. Sa récente participation au Masters londonien l’illustre à merveille. Encore loin de détrôner Andy Roddick dans les cœurs au pays de l’oncle Sam, Fish se fait petit à petit sa place parmi les tous meilleurs. Auteur d’un très bon été, Fish assume parfaitement sa place de huitième mondial.
Numéro cinq mondial derrière les intouchables Djokovic, Nadal, Federer et Murray, David Ferrer est le symbole parfait du combattant de l’ombre. Toujours présent, toujours prêt à saisir la moindre opportunité, Ferrer affiche cette saison une régularité impressionnante, et ce sur toutes les surfaces. Trois titres remportés, dont l’un tout récemment en Coupe Davis, viennent couronner une saison de haute tenue. Discret et efficace, Ferrer est un danger permanent pour son adversaire. En 2011, il est au sommet de son art.
Verre à moitié vide ou verre à moitié plein ? Que dire de la saison de Rafael Nadal, sinon qu’elle fut plus terne et plus décevante qu’en 2010 ? Le tableau est loin d’être noir pour le Majorquin qui, à nouveau, a conquis Roland Garros, et ce pour la sixième fois. Titré uniquement sur terre battue cette saison, Nadal a surtout été balayé, physiquement et mentalement, par Djokovic, premier très grand obstacle majeur dans la carrière de l’Espagnol. Le roi du tennis n’est plus, pour l’instant, que roi de la terre.
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